d) Toutes ces réponses.
En effet, le travail des acériculteurs et acéricultrices du Québec est vaste : entretenir les installations, s’occuper de la récolte des saisons, transformer les produits, gérer l’entreprise et bien plus encore!

b) Un arbre qui a des feuilles.
L’érable est un feuillu robuste qui pousse majoritairement en Amérique du Nord. On le reconnait par ses feuilles. D’ailleurs nous retrouvons la feuille d’érable sur le drapeau du Canada.

b) Une perceuse électrique.
Un vilebrequin (le choix c) serait aussi une bonne réponse, bien que très peu utilisé. Efficace, mais son utilisation prend beaucoup de temps. De nos jours, avec les développements technologiques, il est plus simple et plus rapide d’utiliser une perceuse électrique.

d) Au Québec.
La majeure partie des érables produisant de l'eau d'érable se trouvent au Québec, où elle est transformée en sirop. Le Québec représente 90 % de la production de sirop d'érable au Canada.

d) Au Québec.
Il existe 150 différentes espèces d’érables dans le monde. Il y a seulement 4 différentes sortes d’érables qui peuvent produire du sirop d’érable. Principalement l'érable à sucre et l'érable rouge.

a) Au Québec.
Parmi les quatre différentes sortes d’érables qui peuvent produire du sirop d’érable, nous retrouvons l’érable noir, l’érable argenté, l’érable rouge et l’érable à sucre.

a) La disamare est le fruit de l’érable.
La disamare est parfois surnommée «hélicoptère» en raison de son mouvement lorsqu'elle descend vers le sol, évoquant le tourbillon des hélices d'un hélicoptère.

d) Au printemps.
Pour que la sève s’écoule des érables, il faut des températures de gel la nuit et de dégel le jour. C’est un phénomène qui se produit uniquement au printemps.

b) 20 jours.
La récolte de l'eau d'érable est de courte durée et il faut respecter certains critères pour assurer une bonne récolte. Il est nécessaire que la météo soit favorable, avec des journées chaudes (au-dessus de 0 degré Celsius) et des nuits de gel, afin que l'eau puisse s'écouler des entailles.

a) et c) Les Autochtones et les écureuils.
Plusieurs légendes existent sur le sujet. La plus probable est que ce soit en observant des écureuils léchant le liquide qui coulait d’un arbre que les Autochtones aient eu l’idée de récolter l’eau d’érable.

d) 40 litres.
Il faut en moyenne 40 litres d’eau d’érable pour obtenir 1 litre de sirop d’érable.

a) Le Québec.
Le Québec assure en moyenne 72 % de la production mondiale de sirop d’érable et 92 % de la production totale canadienne.

d) Plus de 10 000.
Actuellement, ils sont au nombre de 13 300 au Québec, parmi lesquels plus de 2000 sont des femmes.

c) 400 ans.
Ce sont des Français et des Britanniques qui sont venus coloniser l’Amérique du Nord. Ils avaient aussi apporté de gros chaudrons faits de métal et de cuivre. Avec ceux-ci, les colons ont pu faire chauffer l’eau d’érable et la transformer en sirop.

d) Toutes ces réponses.
Le sirop d’érable est exporté dans plus de 70 pays à travers le monde. Le Canada est le premier exportateur mondial de produits de l’érable.

c) La sève.
L’eau d’érable, c’est la sève provenant de l’érable. C’est l’eau d’érable, ou la sève, que l’on réduit par évaporation pour obtenir du sirop d’érable.

c) Doré, ambré, foncé, très foncé.
« Doré, au goût délicat », « ambré, au goût riche », « foncé, au goût robuste » et « très foncé, au goût prononcé ». Au fur et à mesure que la saison progresse, les microorganismes se développent dans les tuyaux en raison du temps et de la chaleur. Cela résulte en une nuance de plus en plus foncée du sirop.

d) Toutes ces réponses.
Les forêts d’érables du Québec rendent de précieux services écologiques. Nous pouvons y ajouter également :

- La contribution à la réduction des effets de serre.
- La contribution au contrôle de l’érosion des sols.
- L’effet positif sur la pollinisation.
- L’effet positif sur la filtration des polluants dans l’eau.
- La contribution à l’approvisionnement en eau dans les communautés.

c) L’expression « temps des sucres ».
Reconnue en 2021, la désignation du « temps des sucres » dans le patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’UNESCO est avant tout symbolique, mais elle vise à favoriser la connaissance de cette tradition toute québécoise, à la sauvegarder, à la mettre en valeur et à la transmettre.
Cette annonce vient reconnaître l’apport de l’industrie acéricole à l’économie québécoise et confirme l’importance de cette tradition dans notre identité culturelle.

b) Un phénomène qui transforme l’énergie lumineuse en sucre.
La photosynthèse est un phénomène observé uniquement chez les végétaux. L’énergie solaire aide les végétaux à concevoir leur propre nourriture, donc leur propre énergie.
La photosynthèse des plantes fabrique du sucre, que l’on appelle glucose, et de l’oxygène. Durant l’été, l’érable crée son sucre par le phénomène de photosynthèse grâce à ses feuilles. L’érable se prépare déjà à sa floraison du prochain printemps.
Au printemps, lors du dégel, les écarts de température entre la nuit et le jour provoquent la coulée de la sève. Les acériculteurs et acéricultrices récoltent une petite partie de cette sève, car on veut que l’érable puisse continuer à grandir et à se développer.